Le Lin

Un tissu écologique, issu d’une fibre naturelle.   La culture du lin ne nécessite pas d’engrais ni d’arrosage, la pluie suffit. La transformation de la plante en fil s’effectue grâce à des procédés naturels et non chimiques (rouissage et teillage). C’est pour cela qu’on parle de tissu écologique. D’autant plus que le lin est très peu énergivore à produire.

Le lin donne une sensation de fraîcheur en été et conserve la chaleur en hiver. Grâce à son pouvoir thermorégulateur, le pur lin est très apprécié en habit .

Fibre naturelle, le lin possède des vertus anallergiques. Le tissu de lin est une matière saine qui a une action bénéfique sur les affections dermatologiques et qui n’irrite pas la peau. Son pouvoir absorbant en fait une matière idéale pour le contact direct avec la peau.

Un tissu en lin peut absorber 20% d’humidité sans paraître humide. Il a donc une grande capacité d’absorption, mais il sèche aussi rapidement. Ainsi il ôte la transpiration de la peau sans laisser de traces. Le tissu de lin ondule pour sécher et devient ainsi frais.

Le lin est la fibre textile la plus résistante. Le tissu pur lin ne peluche pas, ne se déforme pas et plus on le lave, plus il s’adoucit. De par ces qualités, le tissu de lin est durable et résiste très bien dans le temps.

Le coton biologique

Le coton biologique est quant à lui cultivé avec du compost naturel qui remplace les engrais chimiques et les pesticides. Il est sans OGM et la consommation d’eau nécessaire pour sa culture est réduite de moitié par rapport au coton conventionnel. 

On privilégie des méthodes naturelles telles que la rotation des cultures, le compostage, l’utilisation des pièges à insectes et d’autres méthodes biologiques pour prévenir les ravageurs et les maladies.

Quelle est la raison donnée pour affirmer que la culture de coton biologique nécessite une consommation d’eau inférieure à celle du coton conventionnel ?

La culture conventionnelle du coton nécessite l’utilisation de produits toxiques qui doivent être dilués, ce qui  n’est pas le cas pour le coton biologique. Par conséquent, cela évite la consommation d’eau supplémentaire pour la dilution.              

En résumé, les besoins en eau d’un plant de coton ne varient pas considérablement d’une culture à l’autre, mais les méthodes utilisées dans la culture biologique permettent de réaliser des économies d’eau significatives.

La fibre du coton est blanchie à l’eau oxygénée et non au chlore. Les teintures sont réalisées sans métaux lourds ou autres substances cancérigènes.

Plus douce et plus souple, la fibre de coton bio est plus épaisse et anallergique.